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vendredi 15 septembre 2017
Article N° 226 : Les étudiants en parlent ! - Gloria Mukonkole étudiante congolaise en science économique à l'Université d'Ottawa au Canada
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Article N° 225 : Claude Denis, Directeur de l'École d'études politiques, parle de la Bourse du Directeur de l'École d'Etudes Politiques de l'Université d'Ottawa au Canada dans le cadre de la Campagne campus.
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Article N° 224 : Gary Slater, doyen à la Faculté des études supérieures et postdoctorales de l'Université d'Ottawa au Canada, parle des bourses d'admission offertes aux étudiants
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Article N° 323 : Bourse du chancelier - Université d'Ottawa - Canada
La Bourse du chancelier est décernée à un étudiant ou une étudiante de premier cycle à temps plein de chacune des facultés d’accueil. D’une valeur de 26 000 $, elle est l’une des bourses les plus prestigieuses de l’Université d’Ottawa.
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Article N° 322 : Bourse du recteur - Université d'Ottawa - Canada
La Bourse du recteur est décernée à un étudiant ou une étudiante de premier cycle à temps plein de chacune des facultés d’accueil de l'université. D’une valeur de 30 000 $, elle est l’une des bourses les plus prestigieuses de l’Université d’Ottawa. La bourse peut être renouvelée pour les trois prochaines années d’études à la condition de conserver l’inscription à temps plein. L’Université d’Ottawa remet également une bourse non renouvelable de 1 500 $ aux candidats sélectionnés comme finalistes (2e, 3e et 4e places) à chacune des six Bourses du recteur.
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Article N° 321 : Bourse d’admission de l'Université d'Ottawa au Canada
La Bourse d’admission de l'Université d'Ottawa, d’une valeur de 1 000 $ à 4 000 $, est automatiquement accordée à tous les étudiants admissibles inscrits à temps plein à l'Université d'Ottawa. Cette bourse est attribuée au moment de l’admission. Aucune demande n’est requise pour cette bourse; tous les candidats et candidates admissibles sont considérés automatiquement et les récipiendaires sont informés. Pour plus d'informations, veuillez contacter l'université.
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Article N° 320 : L'eldorado québécois
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Article N° 319 : Chaque année, l'ambassade du Canada en France délivre environ 6 000 visas Programmes Vacances Travail (PVT). Et tous les ans, c'est la bousculade pour des dizaines de milliers de jeunes Français.
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Article N° 318 : Retourner en Afrique ou rester au Canada après ses études
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Article N° 317 : Les universités québécoises se sont déplacées jusqu'à Paris pour présenter leurs programmes aux étudiants Français. Elles expliquent pourquoi les jeunes français apprécient tant leur système éducatif.
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Article N° 316 : L'Oréal-Unesco : Des bourses pour 5 scientifiques maghrébines
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Article N° 315 : Etudier aux Etats-Unis
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Article N° 314 : 19 Boursières sur scène - Cérémonie Bourses L'Oréal France-UNESCO
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Article N° 313 : Étudier au Canada: Une éducation de qualité, une grande expérience
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Article N° 312 : Quelle stratégie adopter pour être admis en université américaine ?
mercredi 13 septembre 2017
Article N° 301 : Japon - Sénégal : 12 bourses en Management ingénierie et gouvernance aux sénégalais pour étudier au Japon
On appelle cela la "guerre des talents". La Chine accorde des bourses d'études aux africains, le Japon aussi accorde des bourses d'études aux africains. Les USA, la France, le Canada, etc le font. Savez-vous pourquoi ? L'objectif est de former l'élite africaine de demain. Imaginer que le futur président ou la plupart des futurs ministres et hauts fonctionnaires sénégalais sont formés au Japon. Pensez-vous que le Japon aura du mal à décrocher des contrats au Sénégal ?
Article N° 297 : 35 étudiants kenyans ont obtenu des bourses en ingénierie
L'Université Jiaotong de Beijing a donné des bourses à des étudiants Kenyans pour leur enseigner le génie ferroviaire. Une fois diplômés, ils joueront un rôle capital pour les chemins de fer en Afrique de l'est.
Article N° 294 : Pourquoi certaines familles nord-américaines accueillent les étudiants étrangers de PIE/ASSE ?
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Article N° 293 : Pourquoi les universités africaines n'envoient pas de Représentants à la Simulation des Nations Unies à l'Université de Harvard aux Etats-Unis ?
L’Université de Harvard aux Etats-Unis organise chaque année cette conférence suivant la procédure utilisée aux Nations Unies. Cette année, la conférence a rassemblé plus de 2400 étudiants venus de 115 pays pour débattre des problèmes mondiaux actuels. Les étudiants des universités canadiennes y participent massivement. Pendant une semaine, les participants se mettent dans la peau d’un diplomate et défendent les intérêts du pays qu’ils représentent, tout en respectant et en comprenant les positions d’autres pays impliqués dans les négociations. Malheureusement les universités africaines n'envoient pas des représentants à l'exception du Maroc et de l'Egypte.
On ne développe pas des pays ou un continent en s'isolant ou en restant fainéant. Ce manque d'inaction des dirigeants des universités africaines est à dénoncer. TITAN2018 travaille avec quelques organismes sur ce sujet pour permettre à plusieurs universités africaines d'envoyer des représentants pour la conférence 2018.
Suivez dans la vidéo ci-dessous, le témoignage de Mohamed Bouferma, Etudiant en 2eme année à l'EGE Rabat, qui a participé aux Etats-Unis à la simulation des Nations Unies à l'Université de Harvard (Harvard National Model United Nations) avec 3 autres étudiants de l'EGE en 2012.
lundi 11 septembre 2017
Article N° 292 : Pourquoi les pays africains doivent aider leurs jeunes à aller étudier et travailler à l'étranger ? - Partie 02
Le Nigeria lève 300 millions de dollars grâce au « diaspora bond ». Par ces temps de crise, le gouvernement nigérian multiplie les initiatives pour trouver de nouvelles sources de financement. Dernière en date, un emprunt ciblant la diaspora nigériane. Une tentative couronnée de succès puisqu’elle a permis de lever 300 millions de dollars.
Le « Diaspora Bond » émis par les autorités du Nigeria connaît un franc succès. En effet, ce produit destiné à collecter des ressources financières auprès de la diaspora a permis au gouvernement nigérian de lever 300 millions de dollars dans la seule journée du lundi 19 juin 2017.
Les autorités d’Abuja mettent visiblement de grands espoirs dans le succès de ce nouvel instrument pour relancer l’économie du pays. « C’est une nouvelle source de financement pour le gouvernement fédéral du Nigéria. Ceci permettra de financer des projets pour le développement du pays ».
Ce produit financier a été placé sur le marché américain, la diaspora nigériane étant très nombreuse dans ce pays. Le Nigeria est ainsi devenu le premier pays africain autorisé à placer sur le marché américain un produit financier destiné à des investisseurs individuels ou particuliers. Il s’agit d’un segment fortement réglementé et étroitement surveillé par la Securities and Exchange Commission (SEC), l’autorité américaine de régulation des marchés financiers. L’agrément accordé par la SEC permet au gouvernement fédéral du Nigeria de renouveler régulièrement ce genre d’opération à l’avenir et d’accéder à une nouvelle catégorie d’investisseurs, notamment les banques privées et les gestionnaires de fortune installés aux Etats-Unis.
Article N° 291 : La Diaspora Africaine comme étant «l’arme secrète de l’Afrique»
La Diaspora peut apporter son talent, son énergie, sa compétences et son savoir-faire technologique pour promouvoir le progrès économique en Afrique. En fait, les professionnels de la Diaspora jouent un double rôle dans le développement du continent, à la fois comme travailleurs qualifiés et investisseurs. Les talents de la diaspora africaine (diplômés des universités occidentales) sont conscients des énormes opportunités qui existent en Afrique et rentrent en plus grand nombre pour occuper les premiers postes des entreprises multinationales sur le continent. Ils investissent également dans les marchés émergents d’Afrique et lancent des entreprises et des entreprises africaines pour créer des emplois nécessaires et stimuler la croissance économique. La Diaspora ne se signale pas uniquement par sa capacité d’œuvrer en tant que personnel qualifié. Elle peut aussi se positionner en tant qu’investisseur, en utilisant sa force intellectuelle, politique et financière pour déclencher l’émergence de nouvelles industries et donc de nouvelles opportunités d’investissement.
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Article N° 288 : Bourses HEC MBA - RAINBOW BRIDGE
La Fondation Rainbow Bridge permettra aux jeunes femmes bénéficiaires d'enrichir leur cursus académique en obtenant un MBA. Les bénéficiaires de la bourse sont des candidates de haut profil, admises au MBA d'HEC et qui pourront démontrer des compétences exemplaires en leadership dans l'un au moins des domaines suivants :
- Travail communautaire
- Engagement associatif
- Pratiques du développement durable.
MONTANT/PRESTATIONS
20.000 Euro
NOMBRE DE BOURSES
2 pour la rentrée de septembre
2 pour la rentrée de janvier
CONTACT
HEC Paris - MBA Program - 1, Rue de la Libération - 78351 Jouy-en-Josas - France
Tél : + 33 1 39 67 95 46 - Fax : + 33 1 39 67 74 65 - http://www.mba.hec.edu
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Article N° 287 : SAT Plus - Etudier à l'étranger avec bourse !
Vous avez envie de décrocher une bourse d'études pour étudier à l'étranger, SAT Plus peut également vous aider dans vos démarches. Témoignage de quelques anciens étudiants qui ont pu décrocher des bourses dans de grandes universités aux Etats-Unis !
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Articles N° 286 : Bourse d'études de l'association Ashinaga - L'initiative d'Ashinaga pour l'Afrique
Le programme de l'Initiative d'Ashinaga pour l'Afrique offre des bourses d'études complètes pour une première formation dans l'enseignement supérieur à un étudiant par pays parmi 15 pays francophones d'Afrique subsaharienne.
Bourses d'études pour une première formation dans l'enseignement supérieur destinées à des étudiants subsahariens, orphelins d'un ou des deux parents, ayant le potentiel académique étudier à l'étranger. Avant d'arriver en France, les étudiants ont accès à deux programmes préparatoires dans les locaux d'Ashinaga au Sénégal et en Ouganda pour se préparer à l'enseignement supérieur.
MONTANT/PRESTATIONS
800 euros mensuels
Frais de scolarité
Frais de transport entre leur pays d'origine et la France
Somme pour les frais d'installation
DURÉE
Durée maximale de la bourse: Durée d'une première formation dans l'enseignement supérieur français)
NOMBRE DE BOURSES
15 (Une par étudiant de chacun des 15 pays francophones d'Afrique subsaharienne concernés)
PROGRAMME FINANCÉ PAR
Organismes étrangers; Fondations et associations
NATIONALITÉ ÉLIGIBLES :
Bénin; Burkina Faso; Burundi; Cameroun; Comores; Congo; Côte d'Ivoire; Djibouti; Gabon; Madagascar; Mali; Mauritanie; Sénégal; Togo; Rép. démocratique du Congo
DOMAINES D'ÉTUDES
Tous
Particularités
Tous les domaines d'études sauf la Médecine
NIVEAU D'ÉTUDES
Licence
Particularités
L'offre de bourse concerne les formations de premier cycle
CONTACT
Equipe de sélection de l'Initiative d'Ashinaga pour l'Afrique
BP 5081, 10700, Fann, Dakar
Sénégal
Téléphone : +221 33 864 66 62 (Sénégal)
Mail : admissions.fr@ashinaga.org
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Articles N° 285 : Le chinois Jack Ma, fondateur d’Alibaba, lance un fonds de 10 millions $, pour soutenir les jeunes entrepreneurs africains
Jack Ma, le fondateur et dirigeant du site marchand chinois Alibaba, concurrent de l’américain Amazon, a annoncé le lancement ce 23 juillet 2017, d’un fonds pour les jeunes entrepreneurs africains, d’un montant de 10 millions $. « Je souhaite que cette ressource soutienne le développement du e-commerce en Afrique », a fait savoir celui qui conseille la Conférence des Nations Unis sur le Commerce et le Développement (CNUCED) sur l’entreprenariat jeune et les petites entreprises.
Toujours selon Jack Ma, l’argent est déjà prêt et il n’a besoin d’aucune autorisation pour le débloquer. Une fois ses équipes de gestion mises en place, le fonds devrait débuter ses opérations avant la fin de l’année 2017. Dans le même cadre, 200 jeunes entrepreneurs africains seront invités sur les sites d’Alibaba en Chine, afin de leur apprendre les clés du succès de cette entreprise. Le mode de sélections des candidats potentiels n’a pas été donné. TITAN2018 vous tiendra informé sur son blog du lancement des Appels à candidatures.
Jack Ma a annoncé ces nouvelles à partir de Kigali au Rwanda, où il poursuivait sa tournée africaine, une grande première pour lui. Il assistait au sommet Youth Konnect Africa, co-organisé par le gouvernement du Rwanda, et la CNUCED.
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Articles N° 284 : Découvrez les 15 Start-up africaines lauréates du prix SWITCH Africa Green-SEED du PNUE
Le prix SEED fait partie d’un programme international qui reconnaît les start-ups innovantes et respectueuses de l’environnement dans les pays en développement et les aide à développer leurs entreprises et à montrer l’exemple.
Il a récompensé cette année des projets tels que des sacs à base de banane au Kenya, des bancs d’école fabriqués à partir de déchets plastiques au Burkina Faso, l’amélioration des moyens de subsistance pour les producteurs de café et la protection des gorilles de montagne en Ouganda. Sélectionnés parmi plus de 300 candidatures, les activités retenues touchent aux domaines de l’agriculture, de la gestion des déchets, de l’énergie, de la fabrication, de la conservation de la biodiversité et du tourisme.
Pour consulter la liste de tous les lauréats 2017, veuillez cliquer ici.
Comme le souligne Erik Solheim, responsable de l’ONU Environnement, les initiatives récompensées ne perçoivent pas la protection de l’environnement comme un coût ou un fardeau, mais comme une opportunité.
Les lauréats de ce prix fondé par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et l’Union internationale pour la conservation de la nature ont été annoncés le 13 juillet 2017 dernier lors d’un Forum politique de haut niveau à New York.
Ils bénéficieront de conseils commerciaux et financiers personnalisés, des services de marketing et de publicité et de mises en relation avec des organismes de financement, les décideurs politiques et d’autres moyens de soutien. Ils rejoignent également le réseau des 200 lauréats du prix issus d’Afrique, d’Asie et d’Amérique Latine).
La candidature 2018 sera lancée par le PNUE et le PNUD dans les prochains mois.
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Article N° 283 : Bourses du projet réseau Burkina Faso
Ce programme, piloté par le projet FSP RESEAU et l'Ambassade de France au Burkina, consiste en la mise en œuvre de plans de formation et de promotion des cadres du système universitaire et à contribuer à assurer la relève des postes de rang magistral dans les filières prioritaires des universités burkinabé.
MONTANT/PRESTATIONS
Entre 1200 et 1400 €/mois suivant la destination
NOMBRE DE BOURSES
En fonction de la programmation annuelle et des choix de la commission d'attribution, ce programme représente entre 20 et 30 bourses annuelles.
PROGRAMME FINANCÉ PAR
Gouvernement français; Fondations et associations
Pour y postuler, veuillez contacter :
Ambassade de France au Burkina, SCAC, Projet RESEAU, 01 BP 510 Ouagadougou - Tel :50 33 06 56
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Article N° 282 : Bourses du gouvernement français de l'Ambassade de France au Burkina Faso - 3ème cycle
Ce programme consiste en l'octroi de bourses d'études de 3ème cycle au bénéfice de ressortissants burkinabè pouvant justifier d'une pré-inscription auprès d'une université ou école supérieure en France ou dans l'un des pays d'Afrique francophone, en dehors du Maghreb et du Burkina Faso.
MONTANT/PRESTATIONS
767 euros/mois pour études en France. Pour études en Afrique francophone, variation du barême en fonction du pays d'accueil. Prise en charge du voyage, de la couverture médicale, des frais de formation et d'inscription.
NOMBRE DE BOURSES
Nombre variable en fonction des récurrences de bourses accordées les années précédentes. En moyenne, 25 à 30 bourses nouvelles accordées chaque année.
PROGRAMME FINANCÉ PAR
Gouvernement français
CONTACT
Agence CampusFrance Burkina
locaux du CCF George Méliès
OUAGADOUGOU
Mme Giraudeau
Tél: 51 30 51 28
(réception du public du mardi au vendredi inclus de 8h30 à 12h30 et de 15h à 17h30)
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Article N° 281 : Thione Niang aux jeunes : « N’arrêtez jamais de rêver ! » - Une des raisons d'existence de TITAN2018.
C’est l’histoire d’un rêve. Celui d’un jeune garçon originaire de Kaolack, grande ville au coeur du Sénégal d’où il est parti à l’aventure sans rien dans les poches avec un coeur rempli d’espoir. Thione Niang a aujourd’hui 37 ans. Reçu par les plus grands de ce monde, il n’en oublie pas pour autant ses racines africaines. Mieux, à la tête de plusieurs projets, dont Akon Lighting Africa, un méga-projet d’entreprise pour électrifier l’Afrique, et Give1 project, il veut participer au développement du continent africain.
C’est en 2008 que Thione Niang se fait connaître du grand public. À l’époque, il est un jeune activiste membre du directoire de campagne du président Barak Obama. Il détonne, est réactif et très communicatif. On se demande alors qui est cet homme d’origine africaine qui s’affiche aux côtés du premier président noir de l’histoire. On n’allait pas tarder à le découvrir. « C’est vrai, je suis arrivé aux États-Unis avec 20 dollars, comme beaucoup d’immigrés africains et beaucoup d’immigrés du monde entier, certains sont arrivés là-bas avec zéro dollar, mais ils sont avant tout venus avec le cœur », débute Thione Niang, des souvenirs de cette période plein la tête. Il débarque donc à New York, en l’an 2000, avec pour seul diplôme son bac L obtenu au lycée Blaise-Diagne, à Dakar au Sénégal. Issu d’une famille polygame de 28 enfants, Thione a grandi dans un environnement typiquement sénégalais. Après un passage chez ses grands-parents à la Médina de Dakar, il dépose une première demande de visa à l’ambassade américaine. Refusée. Une deuxième. Encore refusée. « J’ai encore déposé une troisième fois, la chance me tournait toujours le dos. Je déposais une quatrième fois et c’est à ce moment qu’on décida enfin de m’accorder un visa. C’était en janvier 2000. Ce ne fut que 5 mois après que je pus me procurer un billet d’avion en destination des USA, car mes proches ne savaient pas où trouver l’argent. Heureusement, un de mes cousins, Daouda Ndaw, venu du Japon m’a prêté l’argent avec lequel, j’ai pu me procurer le billet d’avion », se souvient-il.
L’envie d’aller en Amérique lui est venue en classe de 4e au lycée Valdiodio-Ndiaye lorsqu’il entend parler du parcours de Kofi Annan par son professeur d’Anglais. C’est le déclic. Ce qu’il ambitionne alors est de vivre le rêve américain. Et pour cela il fallait se battre, en particulier contre ses proches qui ne croyaient pas du tout en son projet. On le traitait de rêveur, on lui citait les exemples de gens partis du pays et qui ont échoué. Il se souvient que ce n’était pas facile au début, du fait du choc de la culture, en plus de la barrière de la langue. « Je ne parlais pas bien l’anglais, ce qui ne facilitait pas bien mon intégration. De plus, arrivé aux États-Unis, je devais trouver un boulot. J’en ai trouvé un dans un hôtel en tant que laveur de tables pour subvenir à mes besoins primaires. Ensuite, j’ai économisé pour payer mes cours universitaires. » Comme beaucoup d’immigrés Thione devait non seulement subvenir à ses propres besoins, mais aussi aider sa famille restée au Sénégal. « À l’âge de 12 ans, j’avais promis à ma mère que le jour où j’allais commencer à travailler, elle n’allait plus jamais galérer. Cette promesse ne m’a jamais quitté », dit-il. Ce visa, c’est un sésame pour les Niang. Thione est le premier de la famille à pouvoir envisager une vie meilleure ailleurs. « Je me rappelle, qu’il y avait sur ma route entre le Bronx et le New Yorkshire, une agence de Western Union que j’avais identifiée et à chaque fois je repensais à cette promesse. Et je me souviendrai toujours de ma première paye, quand on m’a donné mon chèque, j’ai couru, j’ai pris le bus, et j’ai envoyé mon premier western », témoigne-t-il. Avant d’ajouter, « non seulement mon rêve d’aider ma famille est devenu réalité, mais j’ai aussi ramené le sourire sur le visage de ma mère. Ce jour-là, j’ai changé sa vie d’une certaine manière. Son petit Thione était devenu grand et il avait tenu sa promesse. »
Au départ, l’activisme et la politique sont des univers bien éloignés du jeune étudiant en administration publique. Mais cinq ans après son arrivée, les États-Unis traversent une grave crise financière, celle dite des subprimes. « Les Américains perdaient leurs maisons, la situation économique était grave, le dollar était en baisse, les usines de Ford en crise. Je me suis alors dit qu’il fallait que j’aide les gens autour de moi », explique-t-il. Thione a donc commencé par faire du volontariat politique afin d’aider sa communauté. Il a travaillé pour un de ses amis, conseiller municipal dans sa campagne. Ils ont gagné une première élection. Cette victoire l’a fait connaître sur le plan local, et cette fois c’est le maire de Cleveland qui l’a donc contacté pour sa campagne. C’est également un succès. « Le sénateur m’a appelé pour être son directeur de campagne et c’est à ce moment que j’ai eu à rencontrer le président Barack Obama, alors sénateur. C’était en 2006. Alors qu’on m’avait déjà nommé président des jeunes démocrates des États-Unis, j’ai travaillé avec Obama pendant 2 ans alors qu’il se préparait pour les élections à la présidentielle. Lorsqu’il a gagné les élections, j’ai intégré le Congrès… où j’ai travaillé durant neuf mois avant de décider de créer se qu’on appelle Give One Project, une organisation qui vise à aider les jeunes dans le leadership et l’entrepreneuriat », avance-t-il. Quand on l’interroge sur sa vision de l’activisme, celui qui vient de reprendre ses études en Executive Master Politiques et management du développement – Potentiel Afrique à Sciences-Po Paris – partage sans réserve son expérience personnelle. « Vous voyez, l’activisme, c’était d’abord sur moi. Ça a commencé à la maison avec la frustration de voir ma mère souffrir, d’abord parce qu’elle doit partager son mari, ensuite, parce qu’elle doit tout partager du fait de l’énorme compétition à la maison. J’étais frustré de tout cela », poursuit-il.
Thione Niang deviendra quelques années plus tard le président des jeunes démocrates du College Caucus aux États-Unis et coprésident de la campagne du président Barack Obama pour les moins de 40 ans appelé Gen44. En dépit des nombreux obstacles, Thione Niang a su garder intactes sa détermination et sa confiance. « Il fallait décider d’être un acteur du changement ou laisser les choses se faire. On a le choix et tout le monde peut le faire. On avait un gouvernement qui créait des guerres dans le monde et qui ne nous représentait pas en tant qu’Américains, en tout cas, moi, ça ne me représentait pas. Il a fallu se battre pour identifier un politicien qui puisse défendre les intérêts des Américains, pour moi, mes intérêts politiques, mes idéologies pour l’Amérique. Je ne le faisais pas pour Barack Obama, je le faisais pour moi, pour mes enfants, pour l’avenir de mes enfants, pour l’avenir du monde. Ce sont des sacrifices que j’ai fait pendant 2 ans de travail sur le terrain en 2007 et 2008 pour le président Obama pour qu’il puisse changer le cours de l’histoire, pas seulement des États-Unis, mais pour le monde entier », confie-t-il. Un lien puissant s’est créé entre les deux hommes et encore plus largement avec les équipes du président. En octobre 2015, Thione a été nommé par le président Barack Obama et le secrétaire d’État chargé de l’Énergie Ernest Moniz comme Ambassadeur au sein du ministère de l’Énergie américain pour représenter les minorités en matière d’énergie. Quinze ans après être arrivé au pays de l’Oncle Sam, Thione est complètement intégré. Il est binational, américain et sénégalais.
Give1Project, la fondation qu’il a créée pour l’autonomisation des jeunes est déjà présente dans plus de 20 pays. Notamment en France, aux États-Unis, au Japon, mais également dans de nombreux pays africains (Sénégal, Bénin, Togo, Côte-d’Ivoire, Ghana, Gabon…). En Afrique, et au Sénégal, il a mis en place de grands incubateurs d’entreprises qui forment chaque mois 75 jeunes entrepreneurs. La même expérience est lancée en Gambie, un pays qui connaît une crise migratoire sans précédent. Là-bas, en plus des jeunes entrepreneurs, Thione forme ceux qui ont des projets dans l’agriculture par exemple. Avec un modèle économique qui repose sur le secteur privé. « Depuis 2009-2010, on ne prend pas d’argent public. En France, on travaille avec Axa et Claude Bébéar. Au Sénégal, la même chose. On travaille avec les gouvernements, on a des partenariats avec eux mais on ne prend pas de l’argent public, tout est privé », explique-t-il. Pour les cinq ans de l’organisation, Thione a emmené toute une délégation d’Afrique, des quartiers difficiles de Paris, en France à la Maison-Blanche. « Je veux être un mentor pour les jeunes. Car, en repensant aux années de difficultés, je me rappelle combien j’aurais aimé être accompagné et grimpé les échelons, réalisé des choses beaucoup plus vite. Pour moi, ça a pris du temps, mais pour certains de ces jeunes-là maintenant, c’est possible, c’est ce que je dis à la jeunesse partout. »
Du message à l’acte, c’est en 2014 que Thione s’associe avec la star internationale Akon et cofonde « Akon Lighting Africa », une initiative qui répond aux problèmes d’énergie dans les villages isolés, les zones périurbaines et urbaines d’Afrique. Ce projet vise à fournir l’électricité à 1 million de foyers en Afrique. Thione, Akon et Samba Bathily lancent Solektra International, la principale société d’énergie solaire en Afrique. Le 15 décembre dernier ils ont inauguré la première académie dédiée au solaire à Bamako, au Mali. La Solektra Solar Academy, un programme ambitieux destiné à former chaque année 200 ouvriers qualifiés, techniciens et ingénieurs venus de toute l’Afrique. Cette formation, à la fois théorique et pratique, est orientée sur les enjeux propres au continent, tels que le développement de systèmes d’électrification décentralisée en milieu rural. « Nous sommes en train d’installer un écosystème performant autour des technologies solaires pour créer des emplois et des débouchés. C’est notre responsabilité vis-à-vis de la jeunesse africaine », dit-il. De quoi permettre le retour de jeunes Africains dispersés à travers le monde. Un sacré pied de nez à tous ceux qui pensent que la jeunesse africaine a fini de rêver.
Une des raisons d'existence de TITAN2018.
C’est en 2008 que Thione Niang se fait connaître du grand public. À l’époque, il est un jeune activiste membre du directoire de campagne du président Barak Obama. Il détonne, est réactif et très communicatif. On se demande alors qui est cet homme d’origine africaine qui s’affiche aux côtés du premier président noir de l’histoire. On n’allait pas tarder à le découvrir. « C’est vrai, je suis arrivé aux États-Unis avec 20 dollars, comme beaucoup d’immigrés africains et beaucoup d’immigrés du monde entier, certains sont arrivés là-bas avec zéro dollar, mais ils sont avant tout venus avec le cœur », débute Thione Niang, des souvenirs de cette période plein la tête. Il débarque donc à New York, en l’an 2000, avec pour seul diplôme son bac L obtenu au lycée Blaise-Diagne, à Dakar au Sénégal. Issu d’une famille polygame de 28 enfants, Thione a grandi dans un environnement typiquement sénégalais. Après un passage chez ses grands-parents à la Médina de Dakar, il dépose une première demande de visa à l’ambassade américaine. Refusée. Une deuxième. Encore refusée. « J’ai encore déposé une troisième fois, la chance me tournait toujours le dos. Je déposais une quatrième fois et c’est à ce moment qu’on décida enfin de m’accorder un visa. C’était en janvier 2000. Ce ne fut que 5 mois après que je pus me procurer un billet d’avion en destination des USA, car mes proches ne savaient pas où trouver l’argent. Heureusement, un de mes cousins, Daouda Ndaw, venu du Japon m’a prêté l’argent avec lequel, j’ai pu me procurer le billet d’avion », se souvient-il.
L’envie d’aller en Amérique lui est venue en classe de 4e au lycée Valdiodio-Ndiaye lorsqu’il entend parler du parcours de Kofi Annan par son professeur d’Anglais. C’est le déclic. Ce qu’il ambitionne alors est de vivre le rêve américain. Et pour cela il fallait se battre, en particulier contre ses proches qui ne croyaient pas du tout en son projet. On le traitait de rêveur, on lui citait les exemples de gens partis du pays et qui ont échoué. Il se souvient que ce n’était pas facile au début, du fait du choc de la culture, en plus de la barrière de la langue. « Je ne parlais pas bien l’anglais, ce qui ne facilitait pas bien mon intégration. De plus, arrivé aux États-Unis, je devais trouver un boulot. J’en ai trouvé un dans un hôtel en tant que laveur de tables pour subvenir à mes besoins primaires. Ensuite, j’ai économisé pour payer mes cours universitaires. » Comme beaucoup d’immigrés Thione devait non seulement subvenir à ses propres besoins, mais aussi aider sa famille restée au Sénégal. « À l’âge de 12 ans, j’avais promis à ma mère que le jour où j’allais commencer à travailler, elle n’allait plus jamais galérer. Cette promesse ne m’a jamais quitté », dit-il. Ce visa, c’est un sésame pour les Niang. Thione est le premier de la famille à pouvoir envisager une vie meilleure ailleurs. « Je me rappelle, qu’il y avait sur ma route entre le Bronx et le New Yorkshire, une agence de Western Union que j’avais identifiée et à chaque fois je repensais à cette promesse. Et je me souviendrai toujours de ma première paye, quand on m’a donné mon chèque, j’ai couru, j’ai pris le bus, et j’ai envoyé mon premier western », témoigne-t-il. Avant d’ajouter, « non seulement mon rêve d’aider ma famille est devenu réalité, mais j’ai aussi ramené le sourire sur le visage de ma mère. Ce jour-là, j’ai changé sa vie d’une certaine manière. Son petit Thione était devenu grand et il avait tenu sa promesse. »
Au départ, l’activisme et la politique sont des univers bien éloignés du jeune étudiant en administration publique. Mais cinq ans après son arrivée, les États-Unis traversent une grave crise financière, celle dite des subprimes. « Les Américains perdaient leurs maisons, la situation économique était grave, le dollar était en baisse, les usines de Ford en crise. Je me suis alors dit qu’il fallait que j’aide les gens autour de moi », explique-t-il. Thione a donc commencé par faire du volontariat politique afin d’aider sa communauté. Il a travaillé pour un de ses amis, conseiller municipal dans sa campagne. Ils ont gagné une première élection. Cette victoire l’a fait connaître sur le plan local, et cette fois c’est le maire de Cleveland qui l’a donc contacté pour sa campagne. C’est également un succès. « Le sénateur m’a appelé pour être son directeur de campagne et c’est à ce moment que j’ai eu à rencontrer le président Barack Obama, alors sénateur. C’était en 2006. Alors qu’on m’avait déjà nommé président des jeunes démocrates des États-Unis, j’ai travaillé avec Obama pendant 2 ans alors qu’il se préparait pour les élections à la présidentielle. Lorsqu’il a gagné les élections, j’ai intégré le Congrès… où j’ai travaillé durant neuf mois avant de décider de créer se qu’on appelle Give One Project, une organisation qui vise à aider les jeunes dans le leadership et l’entrepreneuriat », avance-t-il. Quand on l’interroge sur sa vision de l’activisme, celui qui vient de reprendre ses études en Executive Master Politiques et management du développement – Potentiel Afrique à Sciences-Po Paris – partage sans réserve son expérience personnelle. « Vous voyez, l’activisme, c’était d’abord sur moi. Ça a commencé à la maison avec la frustration de voir ma mère souffrir, d’abord parce qu’elle doit partager son mari, ensuite, parce qu’elle doit tout partager du fait de l’énorme compétition à la maison. J’étais frustré de tout cela », poursuit-il.
Thione Niang deviendra quelques années plus tard le président des jeunes démocrates du College Caucus aux États-Unis et coprésident de la campagne du président Barack Obama pour les moins de 40 ans appelé Gen44. En dépit des nombreux obstacles, Thione Niang a su garder intactes sa détermination et sa confiance. « Il fallait décider d’être un acteur du changement ou laisser les choses se faire. On a le choix et tout le monde peut le faire. On avait un gouvernement qui créait des guerres dans le monde et qui ne nous représentait pas en tant qu’Américains, en tout cas, moi, ça ne me représentait pas. Il a fallu se battre pour identifier un politicien qui puisse défendre les intérêts des Américains, pour moi, mes intérêts politiques, mes idéologies pour l’Amérique. Je ne le faisais pas pour Barack Obama, je le faisais pour moi, pour mes enfants, pour l’avenir de mes enfants, pour l’avenir du monde. Ce sont des sacrifices que j’ai fait pendant 2 ans de travail sur le terrain en 2007 et 2008 pour le président Obama pour qu’il puisse changer le cours de l’histoire, pas seulement des États-Unis, mais pour le monde entier », confie-t-il. Un lien puissant s’est créé entre les deux hommes et encore plus largement avec les équipes du président. En octobre 2015, Thione a été nommé par le président Barack Obama et le secrétaire d’État chargé de l’Énergie Ernest Moniz comme Ambassadeur au sein du ministère de l’Énergie américain pour représenter les minorités en matière d’énergie. Quinze ans après être arrivé au pays de l’Oncle Sam, Thione est complètement intégré. Il est binational, américain et sénégalais.
Give1Project, la fondation qu’il a créée pour l’autonomisation des jeunes est déjà présente dans plus de 20 pays. Notamment en France, aux États-Unis, au Japon, mais également dans de nombreux pays africains (Sénégal, Bénin, Togo, Côte-d’Ivoire, Ghana, Gabon…). En Afrique, et au Sénégal, il a mis en place de grands incubateurs d’entreprises qui forment chaque mois 75 jeunes entrepreneurs. La même expérience est lancée en Gambie, un pays qui connaît une crise migratoire sans précédent. Là-bas, en plus des jeunes entrepreneurs, Thione forme ceux qui ont des projets dans l’agriculture par exemple. Avec un modèle économique qui repose sur le secteur privé. « Depuis 2009-2010, on ne prend pas d’argent public. En France, on travaille avec Axa et Claude Bébéar. Au Sénégal, la même chose. On travaille avec les gouvernements, on a des partenariats avec eux mais on ne prend pas de l’argent public, tout est privé », explique-t-il. Pour les cinq ans de l’organisation, Thione a emmené toute une délégation d’Afrique, des quartiers difficiles de Paris, en France à la Maison-Blanche. « Je veux être un mentor pour les jeunes. Car, en repensant aux années de difficultés, je me rappelle combien j’aurais aimé être accompagné et grimpé les échelons, réalisé des choses beaucoup plus vite. Pour moi, ça a pris du temps, mais pour certains de ces jeunes-là maintenant, c’est possible, c’est ce que je dis à la jeunesse partout. »
Du message à l’acte, c’est en 2014 que Thione s’associe avec la star internationale Akon et cofonde « Akon Lighting Africa », une initiative qui répond aux problèmes d’énergie dans les villages isolés, les zones périurbaines et urbaines d’Afrique. Ce projet vise à fournir l’électricité à 1 million de foyers en Afrique. Thione, Akon et Samba Bathily lancent Solektra International, la principale société d’énergie solaire en Afrique. Le 15 décembre dernier ils ont inauguré la première académie dédiée au solaire à Bamako, au Mali. La Solektra Solar Academy, un programme ambitieux destiné à former chaque année 200 ouvriers qualifiés, techniciens et ingénieurs venus de toute l’Afrique. Cette formation, à la fois théorique et pratique, est orientée sur les enjeux propres au continent, tels que le développement de systèmes d’électrification décentralisée en milieu rural. « Nous sommes en train d’installer un écosystème performant autour des technologies solaires pour créer des emplois et des débouchés. C’est notre responsabilité vis-à-vis de la jeunesse africaine », dit-il. De quoi permettre le retour de jeunes Africains dispersés à travers le monde. Un sacré pied de nez à tous ceux qui pensent que la jeunesse africaine a fini de rêver.
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Article N° 280 : Leurs enfants peuvent aller étudier dans les pays occidentaux mais pas vous !
Prisonniers de leurs calculs personnels, certains politiciens et hauts fonctionnaires des Etats africains regardent leurs compatriotes établis à l’étranger (surtout ceux qui étudient dans des universités occidentales) comme de potentiels concurrents qui peuvent rentrer « leur piquer les postes ».
Il se construit ainsi une connivence entre politiques et hauts fonctionnaires pour isoler la diaspora. En atteste le refus de très nombreux pays de reconnaître la double nationalité. Résultat, en l’état actuel de la législation, un Marocain ayant acquis la nationalité belge n’a aucune chance de devenir, quelle que soit sa compétence, ministre du roi. De même, un Camerounais devenu français est disqualifié pour entrer dans le prochain gouvernement de Paul Biya. Les Etats africains doivent, sans doute, d’abord commencer par reconnaître à leurs ressortissants de la diaspora les mêmes droits que ceux qui vivent au pays. C’est plus faisable et plus concret que l’hypothétique programme de consacrer la diaspora en sixième région du continent.
Leurs enfants eux étudient dans les pays occidentaux. Ils ne veulent pas aussi de la concurrence pour leurs rejetons une fois qu'ils seront au bercail. TITAN2018 n'ira pas par deux chemins. Nous dénoncerons tous les maux qui empêchent le continent africain de se développer.
NB : Avez-vous trouvé cette information utile ? Alors n'hésitez pas à la partager autour de vous. Elle pourra être aussi utile à d'autres personnes. Pour plus d'informations, veuillez contacter TITAN2018 au courriel: titan2018.infos@gmail.com
Article N° 279 : La Bourse d'études Emile-Boutmy pour étudier à Sciences Po Paris
Sciences Po a créé la bourse Emile-Boutmy, afin d'attirer les meilleurs étudiants internationaux. La bourse Emile-Boutmy est une bourse d'excellence, attribuée aux meilleurs étudiants en fonction des priorités de recrutement et en accord avec le profil recherché pour chacun des programmes.
En Master, la Bourse Emile-Boutmy peut prendre plusieurs formes :
1. Une bourse d'inscription de 10 000€ par an pour les deux années de Master, plus une bourse de vie de 6 000€ par an.
2. Une bourse d'inscription de 10 000€ par an pour les deux années de Master.
3. Une bourse d'inscription de 5 000€ par an pour les deux années de Master.
Le nombre de bourses attribuées varie chaque année. Il se situe en général autour de 40 bourses.
PIÈCES À FOURNIR
Tous les justificatifs de revenus et documents qui expliquent la situation familiale du candidat
NATIONALITÉS ÉLIGIBLES :
Afrique du Sud; Algérie; Angola; Bénin; Botswana; Burkina Faso; Burundi; Cameroun; Cap Vert; Centrafrique; Comores; Congo; Côte d'Ivoire; Djibouti; Egypte; Erythrée; Ethiopie; Gabon; Gambie; Ghana; Guinée; Guinée Bissau; Kenya; Lesotho; Liberia; Libye; Madagascar; Malawi; Mali; Maroc; Maurice; Mauritanie; Mozambique; Namibie; Niger; Nigeria; Ouganda; Rwanda; São Tomé et Príncipe; Sénégal; Seychelles; Sierra Leone; Somalie; Soudan; Swaziland; Tanzanie; Tchad; Togo; Tunisie; Zambie; Zimbabwe; Antigua et Barbuda; Argentine; Bahamas; Barbade; Bélize; Bolivie; Brésil; Canada; Chili; Colombie; Costa Rica; Cuba; République Dominicaine; Dominique; El Salvador; Equateur; Etats-Unis; Grenade; Guatémala; Guyana; Haïti; Honduras; Jamaïque; Mexique; Montserrat; Nicaragua; Panama; Paraguay; Pérou; Saint Christophe et Niévès; Sainte Lucie; Saint Vincent et les Grenadines; Suriname; Trinité et Tobago; Uruguay; Vénézuéla; Afghanistan; Arabie saoudite; Arménie; Azerbaïdjan; Bahreïn; Bangladesh; Bhoutan; Brunei; Cambodge; Chine; Corée du Nord; Corée du Sud; Emirats Arabes Unis; Géorgie; Hong Kong; Inde; Indonésie; Irak; Iran; Israël; Japon; Jordanie; Kazakhstan; Kirghizstan; Koweït; Laos; Liban; Malaisie; Maldives; Mongolie; Myanmar; Népal; Oman; Ouzbekistan; Pakistan; Territoires palestiniens; Philippines; Qatar; Singapour; Sri Lanka; Syrie; Tadjikistan; Taiwan; Thaïlande; Timor oriental; Turkmenistan; Turquie; Yémen; Albanie; Andorre; Biélorussie; Bosnie-Herzégovine; Croatie; Islande; Liechtenstein; Macédoine; Moldavie; Norvège; Russie; Suisse; Ukraine; Australie; îles Cook; Fidji; Kiribati; Marshall; Micronésie; Nauru; Niué; Nouvelle Zélande; Palau; Papouasie - Nouvelle Guinée; Salomon; Samoa; Tonga; Tuvalu; Vanuatu; Vietnam; Canada (Québec); Rép. démocratique du Congo; Vatican; Kosovo; Monaco; Monténégro; Saint-Marin; Serbie; Guinée équatoriale.
Pour y postuler, veuillez contacter Sciences Po Paris.
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samedi 9 septembre 2017
Article N° 277 : Pourquoi les pays africains doivent aider leurs jeunes à aller étudier et travailler à l'étranger ? - Partie 01
En 2014, selon la Banque mondiale, près de 120 millions d’africains ont reçu 60 milliards USD envoyés par 30 millions d’africains de la diaspora (les africains qui étudient ou travaillent à l'étranger). Ce montant est supérieur à l’aide publique au développement (56 milliards de dollars en 2014) et aux investissements directs étrangers (50 milliards de dollars). Les transferts des migrants constituent une manne financière très importante pour les pays africains.
Nous savons tous que, plus le nombre des africains de la diaspora augmentera, plus ce montant aussi augmentera chaque année. Alors pourquoi les dirigeants africains ne pensent pas à favoriser l'émigration des jeunes africains vers les pays occidentaux qui cherchent des étudiants ou des travailleurs ? Veulent-ils que ça soit seulement leurs enfants qui y vont pour étudier et acquérir de l'expérience pour ensuite revenir hériter les postes politiques qu'ils vont soigneusement leur réserver ? L'Afrique compte plus de 38 millions de jeunes chômeurs et ce nombre va accroître d'année en année. Ne pensons nous pas qu'il est temps d'agir afin de désamorcer cette bombe à retardement ?
TITAN2018 compte jouer sa partition, c'est pourquoi nous invitons les jeunes africains à prendre leur destin en mains. Ne vous laisser plus distraire par les hommes politiques qui n'ont pour seul objectif de vous embrigader dans la pauvreté pour en tirer profit.
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Article N° 276 : Un billet d'avion aller-retour à offrir à un étudiant étranger au Canada par le BCEI
Êtes-vous étudiant international faisant des études au Canada et aimeriez-vous avoir l’occasion de rentrer chez vous pour voir votre famille et vos amis pour les congés d’hiver (les congés de fête de fin d'année 2017) ?
Le Bureau canadien de l’éducation internationale (BCEI) offre à un étudiant international l’occasion de rentrer chez lui pour les congés en prenant en charge les frais d’un billet aller-retour à son pays d’origine.
Pour participer :
Présenter au BCEI une vidéo de 30-45 secondes expliquant ce que vous aimez de votre expérience d’études au Canada. N’hésitez pas de nous montrer votre sens d’humour et votre esprit créatif. (Voir critères d’admissibilité)
N’oubliez pas de vous présenter un peu aussi : d’où vous êtes, les études que vous faites au Canada, le programme dans lequel vous êtes, depuis combien de temps vous êtes au Canada, votre expérience des études au Canada jusqu’à présent, et, surtout, pourquoi vous aimeriez avoir l’occasion de rentrer chez vous pour les Fêtes. (Voir la section sur les détails de la vidéo.)
Le concours restera ouvert jusqu’au 2 octobre 2017 à 23 h 59 (heure de l’Est). Pour participer au concours, veuillez cliquer ici.
La vidéo
La vidéo de l’étudiant gagnant sera incorporée à une vidéo promotionnelle qui sera partagée sur les sites et réseaux sociaux du BCEI et de la Banque Scotia et au cours du congrès annuel du BCEI.
- Les étudiants doivent présenter une vidéo de 30-45 secondes de long.
- La vidéo peut être présentée en anglais ou en français.
- L’image et le son de la vidéo doivent être clairs.
- Une seule vidéo par personne est autorisée.
Si les étudiants respectent les critères d’admissibilité et si le BCEI juge que leur vidéo respecte les critères minimums, leur nom sera ajouté au tirage au sort final. Le gagnant sera tiré au sort et contacté avant le 1er novembre 2017.
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Article N° 275 : Etudier au Canada grâce au programme de bourses pour les leaders africains de demain
Dates importantes
7 SEPT 2017 : Lancement du programme 2018-2019
13 OCT 2017 : Date limite pour compléter le Questionnaire
16 OCT AU 31 DÉC 2017 : Processus de sélection
JAN AU 9 FÉV 2018 : Les candidats retenus sont avertis par courriel
JAN À MARS 2018 : Admission à l’université
FÉV À JUI 2018 : Processus avant le départ (visa, logement, orientation pré-départ)
MAI 2018 : Tous les autres candidats sont avertis des résultats
MI-AOÛT 2018 : Séance d’orientation au Canada
La bourse comprend :
- L’aller-retour en avion (au début et à la fin du programme)
- Les frais de scolarité
- Une allocation mensuelle de subsistance et une indemnité d’installation
- Une allocation fixe couvrant l’achat de livres et la participation à des colloques au Canada
- L’assurance-maladie
- Les frais du permis d’études
Liste des pays admissibles :
Angola
Bénin
Botswana
Burkina Faso
Burundi
Cameroon
Cape Verde
République centrafricaine
Tchad
Comores
Congo (Brazzaville)
République démocratique du Congo
Côte d’Ivoire
Djibouti
Guinée équatoriale
Érythrée
Éthiopie
Gabon
Gambie
Ghana
Guinée
Guinée-Bissau
Kenya
Lesotho
Libéria
Malawi
Mali
Madagascar
Mauricie
Mozambique
Namibie
Niger
Nigéria
Rwanda
Sao Tomé-et-Principe
Sénégal
Seychelles
Sierra Leone
Somalie
Afrique du Sud
Soudan du Sud
Soudan
Swaziland
Tanzanie
Togo
Ouganda
Zambie
Zimbabwe
Pour y postuler, veuillez contacter l'une des universités canadiennes suivantes :
Université d’Ottawa
Université Laval
Université de Montréal
Carleton University
Concordia University
Dalhousie University
Simon Fraser University
University of British Columbia
University of Calgary
University of Winnipeg
University of Regina
University of Saskatchewan
University of Toronto
University of Waterloo
University of Western Ontario
York University
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Article N° 274 : French Tech Ticket
Ce dispositif qui s’appuie sur le nouveau titre de séjour « Passeport Talent » mis en place fin 2016 vient renforcer encore l’impact de l’action publique French Tech pour attirer des talents internationaux de la Tech et faciliter leur accueil en France, qu’ils soient entrepreneurs, salariés ou investisseurs. Le nombre de visas ne sera pas limité a priori, sous réserve pour les candidats de remplir les critères d'éligibilité. C'est une opportunité pour les jeunes africains qui souhaitent travailler ou entreprendre en France. Pour plus d'informations, veuillez contacter l'Ambassade de France de votre pays.
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Article N° 273 : French Tech Visa
Le French Tech Visa est une procédure simplifiée et accélérée pour l’obtention d’un titre de séjour, et en premier lieu d’un Passeport Talent, pour les talents étrangers éligibles qui est lancé au printemps 2017. C'est un atout supplémentaire pour la France dans la guerre mondiale des talents, qui fait particulièrement rage dans le secteur de la high tech. Depuis l'annonce, en janvier, de l'arrivée prochaine du French Tech Visa, plus de 10.000 personnes ont manifesté leur intérêt. La Mission French Tech assure qu'il n'y aura aucune limitation ni quota : tous les candidats qui remplissent les critères pourront en bénéficier, ainsi que leur famille.
Pour plus d'informations, contacter l'Ambassade de France dans votre pays.
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Article N° 272 : Appel à projet PISCCA 2017 - Ambassade de France au Gabon
Le programme « Projets Innovants des Sociétés Civiles et Coalition d’Acteurs » (PISCCA) constitue un nouvel outil unique de l’Ambassade de France au Gabon au service du financement de projets de développement.
Le montant de l’enveloppe globale PISCCA, dédiée au financement de projets de développement portés par la société civile et les collectivités décentralisées gabonaises est, au titre de l’année 2017, de 185 000 €.
Les projets financés auront une durée d’exécution de 06 à 18 mois. Le montant de la subvention sollicitée au titre du PISCCA doit être supérieur à 5,25 millions FCFA et inférieur à 25 millions FCFA. La moyenne des financements est de 11,5 millions FCFA.
DÉPÔT DES DOSSIERS :
Vos projets sont attendus au sein du Service de Coopération et d’Action Culturelle, de l'Ambassade de France à Libreville au Gabon. Pour plus d'informations, veuillez contacter l'Ambassade de France au Gabon.
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Article N° 271 : Le French Tech Ticket - une opportunité pour les jeunes africains qui souhaitent entreprendre en France
Le French Tech Ticket est le programme pour inciter les entrepreneurs étrangers à venir créer leurs startups en France. Parce que la dynamique d'un écosystème de startups se juge aussi sur sa capacité à attirer les talents internationaux pour partager les cultures entrepreneuriales et créer les conditions dans l’entreprise d'une croissance à l'international, l’Initiative French Tech prévoit un concours de startups internationales avec un package d’accueil attractif pour les lauréats.
Le « French Tech Ticket » vise à attirer en France des entrepreneurs internationaux porteurs d’un projet ambitieux, en création ou déjà créé. Le programme s’adresse aux entrepreneurs étrangers.
Détail du dispositif d’accueil :
- Un financement de 45 000€ par projet pour couvrir prioritairement des dépenses professionnelles,
- Une incubation de 12 mois au sein de l’un des 41 incubateurs partenaires, dans toute la France, avec une évaluation de mi-parcours à 6 mois,
- Une procédure accélérée et simplifiée de délivrance d’un titre de séjour pour les lauréats et leur famille. Il 'agit d'un Visa de 4 ans (renouvelable) pour chacun des lauréats et leurs familles (épouses, enfants et autres personnes à charge).
- Un programme d’animation et d’accompagnement dédié,
- Un « Help Desk » pour assister les lauréats dans le cadre des formalités administratives (titre de séjour, financement, fiscalité, assurance, sécurité sociale),
- Une aide pratique à l’installation personnelle (trouver un logement, un guide pratique à l’installation dans la ville avec des offres spéciales …)
TITAN2018 invite les jeunes africains à y postuler. C'est une énorme opportunités pour les jeunes Startupers africains ou les jeunes africains qui souhaitent entreprendre. A elle seule la France représente plus de 65 millions de consommateurs : c’est le 2ème marché européen, et la 6ème économie mondiale. La France étant au cœur de l'Union Européenne qui reste quant à elle la 1ère économie mondiale avec plus de 500 millions de consommateurs.
Pour y postuler veuillez vous rapprocher de l'Ambassade de France de votre pays. Vous pouvez également obtenir sur internet assez d'informations sur ce programme. Si vous avez besoin de l'aide, n'hésitez pas à nous contacter à TITAN2018.
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Article N° 270 : L'Ambassade de France au Gabon accordera 90 Bourses d'études aux étudiants Gabonais pour étudier en France à partir de l'année universitaire 2018-2019
Le 9 juin dernier, une convention de partenariat triennale relative au financement de bourses d’études étudiantes a été signée entre l’Ambassade de France au Gabon et l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG), dans les locaux de l’ANBG à Olumi.
90 étudiants gabonais vont, à partir de la prochaine rentrée universitaire (2018-2019), bénéficier d’une bourse franco-gabonaise annuelle pour effectuer des études dans des établissements d’enseignement supérieur français.
Cette nouvelle convention permet la poursuite, pour la période 2017-2020, de la coopération engagée entre la France et le Gabon depuis de nombreuses années dans le domaine de la formation universitaire, par le biais du programme Concorde. Cette convention définit les axes prioritaires, fixe les modalités de sélection, le statut et le niveau de prise en charge des boursiers gabonais bénéficiant du programme.
Pour plus d'informations, veuillez vous rapprocher de l'Ambassade de France au Gabon. De plus TITAN2018 recommande aux candidats intéressés d'entamer au préalable les démarches Campus-France pour l'obtention d'une préinscription.
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vendredi 8 septembre 2017
Article N° 269 : Les Bourses d'études et bourses de stage de l'Ambassade de France au Burkina Faso
Le Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France au Burkina Faso accorde chaque année des bourses à des étudiants ou des professionnels burkinabè souhaitant poursuivre leurs études ou se perfectionner en France ou dans un pays d’Afrique francophone (hors Burkina Faso).
Pour toute demande d’information concernant ces bourses, veuillez contacter directement l'Ambassade de France au Burkina Faso.
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Article N° 268 : La liste des candidats burkinabé bénéficiant de bourses d’étude du gouvernement français pour l’année universitaire 2017 / 2018
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Matière
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Nom
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Spécialité
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Doctorat
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Agronomie
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DIALLO Amadou
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Phytopathologie
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Biochimie
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BAKO Évariste
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Chimie
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TARPAGA Lassané
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Démographie
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OUEDRAOGO Adama
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Démographie
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Économie
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YABRE Tobignoré
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Économie appliquée
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Énergie- Environnement
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SANON Hervé Joel
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Génie Civil
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YONLI Hamna Fabien
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Matériaux
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Informatique
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AGBEZOUTSI Kodjo Edem
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Services mobiles sécurisés légers
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Mathématiques
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SAWADOGO Béwentoré
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Mathématiques appliquées : option statistiques
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Sciences
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SANOU Bintou Céline
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Pédologie
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Sciences de l’éducation
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KABORE D. S. Parfait
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Masters
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Agronomie
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SODRE Etienne
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Agro-alimentaire
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Économie
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OUATTARA Soungalo
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Développement agricole et politiques économiques
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Économie
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OUEDRAOGO Téwindé M.
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Analyse économique et développementinternational
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Économie
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TRAORE Seydou
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Économie de la santé
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Mathématiques
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YAMEOGO Boyam Fabrice
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Mathématiques appliquées aux sciences sociales
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Philosophie
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OUEDRAOGO Arouna
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Philosophie contemporaine
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Énergie- environnement
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TEGRE B. G. Ismaël
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Hydraulique et civil
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Autres diplômes
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DOAMBA N. Rodrigue
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DIU Médecine / Techniques chirurgicales hépato-bilio-pancréatiques
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KINDA Wendkuni Romuald
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Ingénieurat Génie Civil / Bâtiment
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OUEDRAOGO Marcel
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Administration culturelle
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NANA Hamadou Tidiane
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Douane
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BADO Vincent
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Journalisme
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Yabre Moussa
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ZONGO Moussa
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Cybersécurité
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Sur liste d’attente
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ZONGO Oumarou
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Doctorat biochimie microbiologie
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BAMOUNI Sophie F.
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Master II épidémiologie
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En cas de désistement d’un candidat, les personnes sur liste d’attente pourront bénéficier d’une bourse.
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